Olivier Bal
vous présente son premier roman
" Les limbes "
Quatrième de couverture.
Vietnam, 1970.
James Hawkins est une jeune recrue. Durant un assaut, il prend une balle dans la tête et croit mourir. Après un mois de coma, et tandis qu’il essaie de se rétablir dans un hôpital de Saigon, il découvre que quelque chose s’est éveillé en lui. Ses nuits deviennent des épreuves, son sommeil et ses rêves ne lui appartiennent plus. Désormais, lorsqu’il dort, il visite les songes des autres… Seuls les médicaments l’empêchent de rêver.
Un an plus tard, un ancien frère d’armes, Nate Irving, vient frapper à sa porte. Il est venu le chercher pour participer à un projet secret : les Limbes. Direction une base perdue au fin fond de l’Alaska pour une aventure aux frontières de la peur et de la folie, une aventure qui les entraînera au cœur des rêves pour percer le mystère des Limbes.
« Nous sommes des pionniers, des aventuriers d’un genre nouveau. Le rêve, c’est la dernière frontière. L’homme a conquis la mer, la terre, l’espace… et maintenant, enfin, il conquiert son propre esprit. Il lui aura fallu des milliers d’années pour comprendre que les plus grands mystères ne se cachaient pas dans les profondeurs des océans, ou aux confins de l’univers mais bien au cœur de son être. »
James Hawkins est une jeune recrue. Durant un assaut, il prend une balle dans la tête et croit mourir. Après un mois de coma, et tandis qu’il essaie de se rétablir dans un hôpital de Saigon, il découvre que quelque chose s’est éveillé en lui. Ses nuits deviennent des épreuves, son sommeil et ses rêves ne lui appartiennent plus. Désormais, lorsqu’il dort, il visite les songes des autres… Seuls les médicaments l’empêchent de rêver.
Un an plus tard, un ancien frère d’armes, Nate Irving, vient frapper à sa porte. Il est venu le chercher pour participer à un projet secret : les Limbes. Direction une base perdue au fin fond de l’Alaska pour une aventure aux frontières de la peur et de la folie, une aventure qui les entraînera au cœur des rêves pour percer le mystère des Limbes.
« Nous sommes des pionniers, des aventuriers d’un genre nouveau. Le rêve, c’est la dernière frontière. L’homme a conquis la mer, la terre, l’espace… et maintenant, enfin, il conquiert son propre esprit. Il lui aura fallu des milliers d’années pour comprendre que les plus grands mystères ne se cachaient pas dans les profondeurs des océans, ou aux confins de l’univers mais bien au cœur de son être. »
Qu'est-ce que j'en ai pensé?
En un mot " Sublime "
Cet écrivain a un talent fou....houwaaa, je comprends mieux maintenant la note de 5/5 sur Amazon.
Quelle dextérité! Pour un premier roman, c'est juste " jubilatoire "
Cet écrivain a un talent fou....houwaaa, je comprends mieux maintenant la note de 5/5 sur Amazon.
Quelle dextérité! Pour un premier roman, c'est juste " jubilatoire "
Olivier Bal est son nom.
Si vous n'aimez pas lire, ce roman vous rendra addictif à la lecture.
En lisant la quatrième de couverture, je me suis dit, pourquoi pas!
Si vous n'aimez pas lire, ce roman vous rendra addictif à la lecture.
En lisant la quatrième de couverture, je me suis dit, pourquoi pas!
Et bien m'en a pris. Ce thriller/fantastique tient la route.
L'intrigue est super bien ficelée. Le personnage principal est attachant, on le file, telle une ombre, sans jamais quitter des yeux les autres protagonistes.
Vous entrez dans cette histoire comme dans un film.
Aucune pause n'est envisageable tellement le cœur de ce roman vous tient en haleine.
L'auteur vous hypnotise et vous ne pouvez que le suivre à travers son imaginaire.
L'auteur vous hypnotise et vous ne pouvez que le suivre à travers son imaginaire.
Il vous captive par sa sagacité.
Le style et la phraséologie sont avérés et congrus.
La fluidité de la lecture est lisse. Le superflu est inexistant.
La fluidité de la lecture est lisse. Le superflu est inexistant.
Olivier, vous ensorcèle par son aura qu'il utilise avec cette excellentissime virtuosité talentueuse.
350 pages dégustées avec un plaisir intense et captivant.
J'ai englouti ce roman génialissime en quelques heures.
Que dire de plus ?
Oui oui, il y a un seul bémol, celui que redoutent beaucoup de grands lecteurs "cette maudite dernière page".....
Olivier, je vous le dis " donnez-nous encore et encore cette jubilation de vous lire prochainement".
Que dire de plus ?
Oui oui, il y a un seul bémol, celui que redoutent beaucoup de grands lecteurs "cette maudite dernière page".....
Olivier, je vous le dis " donnez-nous encore et encore cette jubilation de vous lire prochainement".
Bref, faites-vous plaisir, offrez-vous ce roman. Vous ne le regretterez pas!
Merci à Olivier d'avoir très gentiment répondu à mon interview.
Pourriez-vous vous présenter?
Je m’appelle Olivier Bal
et Les Limbes est mon premier roman. Il s’agit d’un thriller fantastique qui se
déroule pendant les années 70 entre le Vietnam et l’Alaska. Nous y suivons
James Hawkins, un jeune soldat qui se découvre la faculté de visiter les rêves
des autres. J’ai pensé les Limbes comme un « page turner », un roman
qu’on ne pourrait plus lâcher une fois la lecture débutée et me suis efforcé de
sans cesse essayer de surprendre le spectateur. Les Limbes est sorti depuis
septembre sur Amazon et connaît une jolie carrière à la fois en version
numérique et papier. C’est assez excitant de se dire que chaque jour, des gens
découvrent mon livre et visitent les Limbes.
Votre venue dans le monde de
l'écriture est arrivée par hasard ou dès la naissance ?
Je dirais que l’envie de raconter
des histoires a toujours été ancrée en moi. Je me souviens que, gamin, dans les
trajets de bus pour les sorties scolaires, je m’amusais avec mes amis à faire
des « livres dont vous êtes le héros », où c’était moi qui racontais
les histoires. De même, un été, avant de partir en vacances avec un copain,
j’avais passé un mois entier à préparer des fausses missions d’agent secret… missions
qui ne nous ont jamais servi d’ailleurs. Plus tard, ado, nous faisions beaucoup
de sketchs et courts-métrages maison en vidéo. En termes de vraie écriture, j’ai
vraiment commencé à écrire à l’âge de 18 ans. Je suis un peu passé par toutes
les étapes, j’ai un peu tout essayé, comme un apprentissage naturel : scénarii
de courts, de longs-métrages, pièces de théâtre… mais c’est finalement dans le
roman que je me suis vraiment trouvé.
Quel est votre parcours
professionnel?
Je suis journaliste depuis une
quinzaine d’années. J’ai travaillé sur différents types de supports, de la
presse ciné à la presse plus généraliste. Aujourd’hui, je suis rédacteur en
chef de Jeux Vidéo Magazine. Le jeu vidéo est un univers passionnant, en
perpétuelle évolution, et surtout à la confluence de nombreux métiers
différents. Quand on va à la rencontre des équipes de création aux quatre coins
du monde, on discute à la fois avec des programmeurs, des artistes, des
scénaristes… C’est tout le temps très enrichissant. En parallèle, depuis 2013,
j’anime un événement culturel organisé en partenariat avec la Cité des Sciences
et de l’industrie qui s’appelle Masterclass Jeux Vidéo. L’idée est de recevoir
de grands concepteurs de jeux vidéo et de revenir, le temps d’une soirée, sur
leur carrière. C’est un événement gratuit qui fait à chaque fois salle comble.
Un très beau rendez-vous qui me permet de rencontrer des personnes au parcours
fascinant.
Comment vous est venue
l'inspiration de votre premier roman ? Y a-t-il eu des déclencheurs?
L’idée première des Limbes, cette
possibilité qu’a le héros de visiter les rêves des autres, m’est venue d’un court-métrage
écrit il y a longtemps. Je l’ai laissé dans un coin de ma tête, et année après
année, s’est dessinée une histoire, un vrai univers. Au-delà de ça, Les Limbes
est un projet qui me permet un peu de rendre hommage à de nombreux romanciers et
cinéastes qui m’ont marqué gamin et qui font celui que je suis aujourd’hui :
Lovecraft, John Carpenter, Stephen King… Mon but, mon idéal, en écrivant le
roman était de créer à mon humble niveau cette sensation de découverte, de
fascination, mêlée d’appréhension et d’un certain malaise que l’on ressent dans
certaines de leurs oeuvres. Enfin, Les Limbes a été un vrai régal à écrire car
jusqu’alors dans mes projets, j’étais limité par des univers et récits assez
réalistes. Là, au contraire, j’ai pu laisser exploser mon imagination. Et je
m’en suis donné à cœur joie !
Pourrez-vous me dire si des
personnes vous orientent dans vos choix pour créer l'ossature de vos romans?
Les endroits, les personnages, le sujet...etc.?
J’écris seul, sans réelle aide
extérieure. Je fais énormément de recherches pour être le plus juste possible.
D’autant plus pour Les Limbes qui propose un background historique assez
développé. Concernant l’inspiration du livre, j’aime revendiquer le fait que je
décris des univers et personnages 100% fictionnels. Il y a indéniablement un
peu de moi entre les lignes, mais je ne dissimule pas des souvenirs ou des
histoires personnelles dans mes écrits. Pour en revenir à l’écriture, sur les
Limbes spécifiquement j’ai reçu un réel soutien de deux grands auteurs de
thrillers : Patrick Bauwen et Franck Thilliez qui ont eu l’incroyable
gentillesse de me conseiller et m’épauler. Pour le lancement du roman, c’est ma
femme qui a été, pour moi, à la fois une agente, une responsable de
communication, une éditrice…
Cherchez-vous une maison d'édition
et si oui, pourquoi?
Depuis la sortie des Limbes, j’ai
été contacté par une maison d’édition reconnue. Nous sommes actuellement en
discussion. Rien de signé. Disons que l’on apprend à se connaître.
Que pensez-vous de l'auto-édition
et des auteurs indés?
Honnêtement, j’ai été assez
longtemps récalcitrant quant à l’auto-édition. J’avais des principes un peu
idiots, du genre : « soit tu trouves un éditeur, soit tu ne sortiras
pas de livre. » Puis, sur les conseils de ma femme, je me suis intéressé
aux nouveaux moyens donnés, notamment par Amazon, aux auteurs de faire exister
leurs œuvres. J’ai compris que finalement l’auto-édition était une autre voie
tout à fait viable permettant de rencontrer un public. Car, après tout, que
l’on soit édité ou auto-édité, l’essentiel est d’être lu. C’est donc pour moi
une très belle aventure, car, et je touche du bois, les retours sont très
positifs sur les Limbes. Quant aux auteurs indés, c’est un milieu que je
découvre à peine. Mais je trouve d’emblée qu’il y a un bon esprit. J’ai
certains auteurs qui ont suivi ma page Facebook, avec lesquels on a pu échanger
des informations et conseils.
Quelles sont vos lectures, films et
ont-ils une influence sur vos écrits?
Je suis un grand amateur de cinéma.
J’ai beaucoup de réalisateurs que j’admire dans des styles très différents et
tout au long de l’histoire. Des légendes de l’âge d’or : Joseph
Mankiewicz, Billy Wilder, Franck Capra… Tous les représentants du nouvel
Hollywood : Martin Scorsese, Brian de Palma, Steven Spielberg, William
Friedkin, Francis Ford Coppola... Des créateurs d’images de génie. Plus
récemment, j’aime beaucoup le cinéma de James Gray et notamment le magnifique
We Own the Night. En France, je suis très sensible à l’écriture et à la
sensibilité de Jacques Audiard. Concernant la littérature, c’est un peu la même
chose, même si j’ai une prédilection pour les romans noirs, polars et
thrillers. Donc, évidemment, je suis un grand admirateur de James Ellroy et
Edward Bunker. Plus récemment, j’ai adoré les livres de Dennis Lehane,
notamment Gone Baby Gone, un chef d’œuvre pétri d’émotion. Et en français :
Tonino Benacquista et Jean-Claude Izzo. Concernant les thrillers, je respecte
le travail de Franck Thilliez et Patrick Bauwen, mes deux parrains sur Les
Limbes. Plus largement, j’ai une grande admiration pour l’écriture très sèche
et brute de Cormac McCarthy, notamment La Route. Mais si je devais avoir deux
livres de chevet, ce serait Voyage au bout de la nuit de Céline d’un côté et La
vie devant soi de Romain Gary de l’autre pour pouvoir passer à loisir des
ombres à la lumière. C’est terrible comme question quand j’y pense ! Il y
a tellement d’auteurs, de réalisateurs qui jalonnent ma vie ! Allez pour
finir, je me dois de parler d’un énorme coup de cœur : Tim Willocks et son
diptyque La religion/Les 12 enfants de Paris. C’est violent, incroyablement
puissant… remarquable.
Que signifie être auteur pour vous?
Pour être tout à fait honnête, je
ne saurai trop quoi comprendre. J’ai encore du mal, avec un seul live à mon
actif, à me considérer comme auteur. Et je n’en ai pas la prétention. Ce que
j’aime moi, ce qui me fait vibrer, c’est raconter des histoires. Donner vie à
des personnages et des récits qui toucheront les lecteurs. Je suis mon premier
lecteur et de manière très égoïste, chaque roman que j’essaie d’écrire est un
roman que j’aimerai lire.
L'inspiration et l'endroit pour
écrire sont-ils deux éléments indissociables?
J’ai la chance de
« rentrer » rapidement dans mon écriture. Quelques instants suffisent
pour que je retrouve le rythme de mon histoire, le style de mes personnages. Du
coup, l’endroit où j’écris importe peu. Par exemple, en ce moment, j’écris énormément
durant mes trajets en train pour me rendre au travail. Seul élément
indispensable pour écrire, la musique. J’ai vraiment besoin d’une ambiance
sonore qui m’aide à me concentrer. Pour chaque roman, j’ai ainsi une playlist
bien spécifique. Par exemple, si vous voulez savoir le type de musique que
j’écoutais en écrivant Les Limbes, j’ai créé une playlist sur Deezer. Voilà
l’adresse.
Deezer c'est ici
Quels sont vos projets ?
En numérique et/ou en broché c'est ci-dessous
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire