JEAN DARDI
Vous présente son premier opus
"Les sept Stigmates"
Quatrième de couverture
Paris connaît une vague de crimes sans précédent. Une jeune secrétaire, un imam, un rappeur, un assassin, un voleur... Tous retrouvés égorgés. Aucun lien apparent, si ce n'est ce mystérieux message reçu par chacune des victimes quelques jours avant leur mort. La psychose s'installe. En haut-lieu on panique, on trépigne, on menace. Au 36 Quai des Orfèvres, en plein mois d'août, il ne reste guère que le commissaire Giovanni Dell'Orso, qui ne batifole pas sur les plages. En pleine déprime, il hérite donc de cette affaire qui s'avère particulièrement délicate. D'autant que, des bas-fonds de Paris aux arrondissements les plus chics, le tueur franchit progressivement toutes les limites. Y compris celles de sa folie meurtrière...
Qu'est-ce que j'en ai pensé?
Comme je lis presque exclusivement en format numérique, Jean en a décidé autrement et m'a proposé la lecture de son premier opus au format broché. Bien lui en a pris et je l'en remercie. Quel plaisir de retrouver sous mes doigts la douceur et l'arôme vif du papier et de l'encre fraichement imprimée.
En commençant ma lecture, j'ai ressenti une drôle de sensation, celle que ce roman n'était pas le premier que l'auteur avait écrit. J'y reviendrai après.
Les personnages.
Ce mois d’aout, au 36 Quai des Orfèvres, c'est plutôt la galère question effectif, mais Jean Dardi nous a dégoté une équipe d’enquêteurs assez atypique.
Les personnages principaux sont bigrement attachants et leur personnalité l'est tout autant. Au fil des pages, vous faites connaissance avec le commissaire Gio qui, si j'ose dire, s'en tape complètement des procédures judiciaires et de la hiérarchie. De plus, son côté ours, en fait un rustre aux yeux de ses congénères, mais en ce qui concerne ses trois chats, alors là, on peut dire qu'il est doux comme un agneau.
Non non non, je n'oublie pas Maurice, mais je vous laisse le privilège de découvrir cet énergumène assez bizarroïde et malgré tout....efficace. Je n'en dis pas plus.
Que dire des tonalités, du style et de l’Âme de ce roman?
A priori, on pourrait croire que c'est la routine au 36 et bien détrompez-vous.
Le commissaire Gio se voit confier une enquête dès plus ombrageuse.
Des meurtres abjects sont commis et les victimes n'ont aucun dénominateur commun à part un message retrouver sur chaque lieu du crime.
L'auteur nous livre ici un polar efficace de par un rythme soutenu.
L'écriture est fluide et le style est personnalisé.
Jean a son propre langage et une esthétique caractérisée par une plume audacieuse.
Les tonalités du texte y sont décrites avec une aisance déconcertante.
Jean maitrise parfaitement son sujet et le développe avec brio.
La phraséologie est tout simplement accomplie et absolue.
Vous devenez accro et votre addiction s'installe tout naturellement sans vous en rendre compte.
Les pages défilent sous vos doigts et le temps est comme suspendu.
Votre esprit s'est fermé au monde extérieur et l'Âme de ce roman opère en vous captivant. Malheureusement, le mot " fin" survient et les questions fusent.
Je me suis donc surprise à me poser cette question;
" Est-ce vraiment votre premier roman Monsieur Dardi? "
Ceci dit, il y a un bémol, hé oui, la fin....
Haaaa, oui oui oui Monsieur Dardi, pas question de nous faire poireauter pendant des mois pour connaitre la suite...hein.
Nous sommes d'accord...j'attends le deuxième opus dans les plus brefs délais!!!! ;-)
Bref, voici un thriller bien ficelé contenant tous les ingrédients requis pour que vos nuits soient les plus angoissantes possible.
Merci à Jean d'avoir très gentiment répondu à mon interview
« Les 7 stigmates » sont sortis de mon cerveau malade. L’équipe d’enquêteurs du 36 que j’ai créé va se retrouver dans un certain nombre de romans à venir.
Toujours à courir derrière des tueurs en série.
Pourquoi ? Parce que ces malades me fascinent tant ils sont proches de nous.
Il suffit juste d’un grain de sable à un moment donné pour que la vie de tout un chacun bascule. Et que le gentil cadre moyen, le prof de philo ou le peintre en bâtiment devienne un tueur sanguinaire…
La suite des « Sept stigmates » est d’ores et déjà écrite et en possession de mon éditeur. Lequel fort logiquement laisse s’écouler un certain temps avant de la publier. Je suis en train d’écrire le troisième opus des aventures de Dell’Orso et son équipe. Ce qui va d’ailleurs poser rapidement un problème d’édition. Wait and see !
Ou trouver le roman?
Roman de +- 346 pages
City Edition c'est ici
En numérique et/ou en broché c'est ci-dessous
En commençant ma lecture, j'ai ressenti une drôle de sensation, celle que ce roman n'était pas le premier que l'auteur avait écrit. J'y reviendrai après.
Les personnages.
Ce mois d’aout, au 36 Quai des Orfèvres, c'est plutôt la galère question effectif, mais Jean Dardi nous a dégoté une équipe d’enquêteurs assez atypique.
Les personnages principaux sont bigrement attachants et leur personnalité l'est tout autant. Au fil des pages, vous faites connaissance avec le commissaire Gio qui, si j'ose dire, s'en tape complètement des procédures judiciaires et de la hiérarchie. De plus, son côté ours, en fait un rustre aux yeux de ses congénères, mais en ce qui concerne ses trois chats, alors là, on peut dire qu'il est doux comme un agneau.
Non non non, je n'oublie pas Maurice, mais je vous laisse le privilège de découvrir cet énergumène assez bizarroïde et malgré tout....efficace. Je n'en dis pas plus.
Que dire des tonalités, du style et de l’Âme de ce roman?
A priori, on pourrait croire que c'est la routine au 36 et bien détrompez-vous.
Le commissaire Gio se voit confier une enquête dès plus ombrageuse.
Des meurtres abjects sont commis et les victimes n'ont aucun dénominateur commun à part un message retrouver sur chaque lieu du crime.
L'auteur nous livre ici un polar efficace de par un rythme soutenu.
L'écriture est fluide et le style est personnalisé.
Jean a son propre langage et une esthétique caractérisée par une plume audacieuse.
Les tonalités du texte y sont décrites avec une aisance déconcertante.
Jean maitrise parfaitement son sujet et le développe avec brio.
La phraséologie est tout simplement accomplie et absolue.
Vous devenez accro et votre addiction s'installe tout naturellement sans vous en rendre compte.
Les pages défilent sous vos doigts et le temps est comme suspendu.
Votre esprit s'est fermé au monde extérieur et l'Âme de ce roman opère en vous captivant. Malheureusement, le mot " fin" survient et les questions fusent.
Je me suis donc surprise à me poser cette question;
" Est-ce vraiment votre premier roman Monsieur Dardi? "
Ceci dit, il y a un bémol, hé oui, la fin....
Haaaa, oui oui oui Monsieur Dardi, pas question de nous faire poireauter pendant des mois pour connaitre la suite...hein.
Nous sommes d'accord...j'attends le deuxième opus dans les plus brefs délais!!!! ;-)
Bref, voici un thriller bien ficelé contenant tous les ingrédients requis pour que vos nuits soient les plus angoissantes possible.
Merci à Jean d'avoir très gentiment répondu à mon interview
Ta venue dans le monde de l'écriture est arrivée par hasard ou dès la naissance?
Tout au long de ma carrière professionnelle, je me suis lancé des défis. C’est mon kif. Ma venue dans le monde de l’écriture représente un défi supplémentaire que j’entends bien relever.
Quel est ton parcours professionnel?
J’ai longtemps travaillé en tant que chef d’entreprise dans la promotion immobilière et au moment de me retirer, j’ai éprouvé un grand vide.
Je comble ce vide en écrivant. Et je me suis orienté vers le polar car
j’en lis depuis toujours. Par dizainesJe comble ce vide en écrivant. Et je me suis orienté vers le polar car
Comment t'es venue l'inspiration de ton roman "Les sept Stigmates"? et y a-t-il eu des déclencheurs ?

Toujours à courir derrière des tueurs en série.
Pourquoi ? Parce que ces malades me fascinent tant ils sont proches de nous.
Il suffit juste d’un grain de sable à un moment donné pour que la vie de tout un chacun bascule. Et que le gentil cadre moyen, le prof de philo ou le peintre en bâtiment devienne un tueur sanguinaire…
Peux-tu me parler de Maurice et comment as-tu créé ce personnage qui, je dois dire, est surprenant....chut, je n'en dis pas plus....
Les personnages de Dell’Orso et Maurice comportent beaucoup des traits de caractère de Jean Dardi. Disons que Dell’Orso serait mon côté « ville » et Maurice, mon côté caché.
Celui qu’en principe, je ne dévoile pas. On trouve souvent dans sa bouche des propos de
philosophie de comptoir auxquels j’adhère assez. Comme moi, il est un peu brut
de décoffrage, du moins c’est l’impression qu’il veut donner, et j’aime ça.Celui qu’en principe, je ne dévoile pas. On trouve souvent dans sa bouche des propos de
Pourrais-tu me dire si des personnes orientent tes choix pour créer l'ossature de tes romans? Les endroits, les personnages, le sujet...etc?
Personne n’oriente mon écriture. Pour l’instant en tout cas. Mon éditeur n’a pas changé une virgule à mon texte. Il s’est juste contenté de le mettre en forme pour l’impression.
Dans mon entourage, peu de personnes sont férues de thrillers et ont peine à croire que mes écrits sont l’œuvre de la personne qu’ils côtoient depuis des décennies.
Dans mon entourage, peu de personnes sont férues de thrillers et ont peine à croire que mes écrits sont l’œuvre de la personne qu’ils côtoient depuis des décennies.
Ton éditeur est City, le parcours a-t-il été difficile pour trouver une ME ?
Mon éditeur est City et il a mis seulement trois semaines avant de m’appeler pour éditer mon roman. Mais je crois que tout ceci est dû en grande partie à une dose de chance phénoménale.
Que penses-tu de l'autoédition et des auteurs indés?
J’admire les autoédités car pour certains, ils méritent d’être reconnus par une maison d’édition. Le problème, c’est qu’en matière d’autoédition, on trouve le meilleur comme le pire. Ce qui ne rend pas service à ceux qui font du bon boulot. En tout cas, chapeau à eux pour les efforts qu’ils doivent déployer pour se vendre ou se faire accepter dans des manifestations littéraires !
Quelles sont tes lectures, films et ont-ils une influence sur tes écrits?
Mes lectures sont essentiellement des polars. Français. Aucune influence sur mes écrits sauf peut-être de très anciens auteurs que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître.
Que signifie être auteur pour toi?
Que signifie être auteur pour toi?
Etre auteur me permet d'exorciser un certains nombre de mes démons.( surtout dans le deuxième livre à paraître.)
L'inspiration et l'endroit pour écrire sont-ils deux éléments indissociables?
L'inspiration me vient sans prévenir, n'importe où, n'importe quand. A ce moment-là, je me précipite sur un morceau de papier pour prendre des notes avant d'oublier. Je n'ai qu'un endroit possible pour écrire : mon bureau.
Ton roman est un thriller, te vois-tu dans un autre registre?
Depuis plusieurs années, je ne lis quasiment que du polar et je ne me vois pas dans un autre registre.
Quels sont tes projets?
Quels sont tes projets?
La suite des « Sept stigmates » est d’ores et déjà écrite et en possession de mon éditeur. Lequel fort logiquement laisse s’écouler un certain temps avant de la publier. Je suis en train d’écrire le troisième opus des aventures de Dell’Orso et son équipe. Ce qui va d’ailleurs poser rapidement un problème d’édition. Wait and see !
Ou trouver le roman?
Roman de +- 346 pages
City Edition c'est ici
En numérique et/ou en broché c'est ci-dessous
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