Boris Dokmak
vous présente
Les Amazoniques
Inspiré de Faits réels.
Quatrième de couverture.
Eté 1967. Un ethnologue est accusé de meurtre. Il vit retiré au fin fond de la Guyane, dans une zone non cartographiée, territoire inconnu des perdidos dégénérés retournés à la vie sauvage et d'Indiens cannibales. Pour l'inspecteur Saint-Mars, qui sillonne la jungle infernale à sa recherche, le crime cache des motivations qui vont bien au-delà de l'étude d'un nouveau peuple.
Mars 2014. Un Indien agonisant, rongé par un mal étrange, surgit de la forêt guyanaise. Il est le dernier repésentant de sa tribu, éteinte depuis cinquante ans. Sa découverte révèle l'existence du monstrueux projet Sunshine, plus grand scandale sanitaire et humain ignoré du XXème siècle, nom de code d'une expérience scientifique authentique jusqu'alors restée secrète et toujours réfutée par le gouvernement américain
Magnétique et bestial, Les Amazoniques confirme l'entrée tonitruante de Boris Dokmak dans le cercle fermé des géants du polar.
Mars 2014. Un Indien agonisant, rongé par un mal étrange, surgit de la forêt guyanaise. Il est le dernier repésentant de sa tribu, éteinte depuis cinquante ans. Sa découverte révèle l'existence du monstrueux projet Sunshine, plus grand scandale sanitaire et humain ignoré du XXème siècle, nom de code d'une expérience scientifique authentique jusqu'alors restée secrète et toujours réfutée par le gouvernement américain
Magnétique et bestial, Les Amazoniques confirme l'entrée tonitruante de Boris Dokmak dans le cercle fermé des géants du polar.
Mon avis;
Ce thriller ethnologique, de Boris Dokmak, que je ne connaissais pas, m'a été proposé par les éditions Ring. Curieuse de nature, je me suis d'abord renseignée sur l' écrivain et là, en lisant le "pédigrée" du Monsieur, je me suis aperçue qu'il était agrégé de philosophie et aussi l'auteur de "La Femme qui valait trois Milliards". Il n'en fallait pas plus pour que mon encéphale soit en mode " Vampiromane ". En lisant la quatrième de couverture et voyant qu'il y avait + ou - 465 pages, je me suis dit " lu en 2-3 jours" eh bien que nenni, il a été englouti en 36 heures chrono montre en main ;-).
Putain, que c'est bon de lire un thriller comme celui-là... Houwa, ça décape grave.
Je vous plante le décor;
Nous sommes en 1967, Paris, le lieutenant Saint-Mars, dit " La Marquise " accro à la morphine de par un passé militaire qui lui a laissé des blessures profondes, se voit confier une enquête, au premier abord banale, mais qui va vite prendre des proportions bien au-delà de l'horreur et si l'enfer excite, vous allez le découvrir.
Son enquête commence en Guyane ou un ethnologue est accusé de meurtre, celui-ci vit au fin fond de la forêt amazonienne, mais pas seul.... Saint-Mars va découvrir, à ses dépens, des tribus locales, Les Amazoniques, tribus cannibales qui y résident en maitre absolu. Dans cette nature hostile où vivent des bestioles assoiffées de sang et de chair humaine (qui vous feraient flipper sa race) Saint Mars va, à plusieurs reprises, manquer d'y laisser sa peau.
Dans cette quête, il va découvrir le réel enjeu, le projet Sunshine, le plus grand scandale sanitaire et humain ou des pseudo-expériences scientifiques américaines ont été menées sur des tribus, et plus précisément les Arumgaranis, jusqu’à leur extinction.
En dire plus, NON!
Lisez-le et vous comprendrez pourquoi j'ai lu ce thriller à une vitesse qui frise la frénésie.
Le style.
En commençant ma lecture, je me suis adaptée rapidement au langage stylistique de l'auteur qui, entre nous, est époustouflant.
Dokmak manie avec brio une phraséologie qu'il dissèque consciencieusement. Il maitrise magistralement son sujet. Le travaille de recherche est colossale. Rien n'est anodin, tout est accompli et achevé.
Une plume aguerrie et bien trempée. Ça claque, ça bouscule et ça dérange, mais toujours avec une habileté et une élégance seigneuriale.
Tel un caméléon, ce roman a de multiples facettes.
On y retrouve tous les ingrédients d'un thriller digne de ce nom.
Aventure, la forêt Amazonienne dans toute sa beauté et sa splendeur, mais également avec ses côtés obscurs et mortels.
Espionnage, des expériences scientifiques aux résultats dévastateurs.
Crime et génocide contre un peuple authentique qui n'en a rien à faire d'une pseudo-civilisation extérieure.
Drôlerie et empathie, un lieutenant atypique.
Les faits authentiques, inspirés d'une histoire vraie.
Les tonalités du texte.
Le ressenti est intense et est perçu visuellement de par un descriptif du tragique absolument réel. La jungle et son climat humide. La peur et la sueur qui vous engluent. L’atmosphère est lourde et pesante. Vos sens sont en alertes maximales. Les émotions se succèdent entre bestialité, cruauté, horreur et un final funeste. Le dramatique s'ajoute et les scènes s’enchainent, plus dures les unes que les autres. Les chapitres sont courts. Ils vous permettent une lisibilité appropriée et une compréhension de par une aisance oratoire qui en ferait pâlir plus d'un.
En conclusion.
Après avoir lu ce thriller, j'ai dû prendre un peu de recul pour pouvoir élaborer cette chronique. Coucher sur papier toutes mes idées, les infos, mes ressentis et la façon la plus lucide possible pour en expliquer l'insignifiance abyssale de l'homme envers ses congénères et la profondeur incommensurable d'une pseudo-supériorité intellectuelle déviante qui, soi-disant, est le "progrès" n'a pas été aisé.
Ceci étant dit, Boris Dokmak nous offre ici un thriller pur et dur dans la lignée du génialissime et je pèse mes mots! Un auteur hors-norme, un thriller puissant!
Trailer.
En dire plus, NON!
Lisez-le et vous comprendrez pourquoi j'ai lu ce thriller à une vitesse qui frise la frénésie.
Le style.
En commençant ma lecture, je me suis adaptée rapidement au langage stylistique de l'auteur qui, entre nous, est époustouflant.
Dokmak manie avec brio une phraséologie qu'il dissèque consciencieusement. Il maitrise magistralement son sujet. Le travaille de recherche est colossale. Rien n'est anodin, tout est accompli et achevé.
Une plume aguerrie et bien trempée. Ça claque, ça bouscule et ça dérange, mais toujours avec une habileté et une élégance seigneuriale.
Tel un caméléon, ce roman a de multiples facettes.
On y retrouve tous les ingrédients d'un thriller digne de ce nom.
Aventure, la forêt Amazonienne dans toute sa beauté et sa splendeur, mais également avec ses côtés obscurs et mortels.
Espionnage, des expériences scientifiques aux résultats dévastateurs.
Crime et génocide contre un peuple authentique qui n'en a rien à faire d'une pseudo-civilisation extérieure.
Drôlerie et empathie, un lieutenant atypique.
Les faits authentiques, inspirés d'une histoire vraie.
Les tonalités du texte.
Le ressenti est intense et est perçu visuellement de par un descriptif du tragique absolument réel. La jungle et son climat humide. La peur et la sueur qui vous engluent. L’atmosphère est lourde et pesante. Vos sens sont en alertes maximales. Les émotions se succèdent entre bestialité, cruauté, horreur et un final funeste. Le dramatique s'ajoute et les scènes s’enchainent, plus dures les unes que les autres. Les chapitres sont courts. Ils vous permettent une lisibilité appropriée et une compréhension de par une aisance oratoire qui en ferait pâlir plus d'un.
En conclusion.
Après avoir lu ce thriller, j'ai dû prendre un peu de recul pour pouvoir élaborer cette chronique. Coucher sur papier toutes mes idées, les infos, mes ressentis et la façon la plus lucide possible pour en expliquer l'insignifiance abyssale de l'homme envers ses congénères et la profondeur incommensurable d'une pseudo-supériorité intellectuelle déviante qui, soi-disant, est le "progrès" n'a pas été aisé.
Ceci étant dit, Boris Dokmak nous offre ici un thriller pur et dur dans la lignée du génialissime et je pèse mes mots! Un auteur hors-norme, un thriller puissant!
Trailer.
Bande-annonce Les Amazoniques (Stéphane... par Editions_Ring
- Format : Poche
- Prix : 9.90€
- Nombre de pages : 465 pages
- Editeur : Ring (16 février 2017)
- Langue : Français
- ASIN: B01M7MLVKU
- Site de l'éditeur : c'est ici
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